Charlotte Gainsbourg : ce deuil terrible qui la frappe
Certaines familles seraient-elles maudites ? En tous les cas, lorsqu’on regarde l’histoire de la famille Gainsbourg, on est en droit de se poser la question. Et du côté de Charlotte Gainsbourg, ces dernières années ne l’ont pas épargnée entre le décès de sa sœur, mais surtout, ce proche ami répétiteur dont elle porte encore le deuil.
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Charlotte Gainsbourg : un héritage difficile à vivre
Il y a des familles qui portent plus souvent le deuil que d’autres. C’est notamment le cas de la famille Gainsbourg qui a largement été marquée par de nombreux drames. Déjà du côté de sa mère, Jane Birkin, qui perd non seulement l’homme de sa vie mais également son père la même année. Et quelques années plus tard, c’est au tour de Kate Barry, la fille de Jane et sœur de Charlotte Gainsbourg de mettre fin à ses jours.
Et depuis, l’actrice a bien du mal à traverser cette épreuve. « Je pense à elle tout le temps. Tout le temps. C’est moi aussi qui veut la faire vivre, tout est en référence à elle. » Une terrible perte ravivée par une autre, lorsqu’elle fait face à la disparition tragique de Benoît Jacquot, un proche ami et répétiteur de talent.
Faire face à l’absence
Dans une interview accordée au magazine Vanity Fair, Charlotte Gainsbourg revient sur l’un des drames de sa vie. C’est ainsi qu’elle se livre sur le tournage de Suzanna Andler marquée par la perte de son proche ami, Benoît Jacquot. Un tournage particulièrement difficile dans la mesure où il a fallu continuer d’avancer dans le film qui ne faisait que marquer un peu plus l’absence du répétiteur. « Pendant le film, j’avais sa voix dans ma tête. »
Pour faire face à cette terrible absence, l’actrice a donc mis en place un plan bien à elle en répétant son texte des mois à l’avance. De cette manière, elle a pu essayer de s’approprier son rôle en rendant la fois hommage à son ami et en tentant de l’oublier, ne serait-ce qu’un peu. « Je m’y suis mise deux mois avant, comme si je préparais une pièce de théâtre. »
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