Cette attitude d’Emmanuel Macron qui scandalise les autres dirigeants durant la commémoration du Débarquement
La cérémonie du 80ᵉ anniversaire du Débarquement de Normandie était scrutée de très près, ce 6 juin. L’occasion pour les observateurs de l’événement (journalistes, internautes et téléspectateurs) d’assister à l’arrivée tardive d’Emmanuel Macron.
La cérémonie jalonnée de petits événements notables
Si la commémoration du Débarquement de Normandie s’est déroulée presque sans encombres, quelques événements ont tout de même attiré l’attention. Parmi eux, le geste peu protocolaire de Brigitte Macron envers la reine Camilla. En effet, après avoir déposé une gerbe, la première dame tente de prendre la main de la reine consort. Un geste que celle-ci prend soin d’éviter.
Manque de pot, la scène a été enregistrée par plusieurs caméras. Visionnée en direct par les téléspectateurs, elle a ensuite été diffusée sur les réseaux sociaux. L’occasion pour les internautes de débattre du fameux protocole royal. Un protocole qui mérite parfois d’être bousculé. Comme l’a quelquefois montré la reine Elizabeth II durant son règne.
Un autre événement n’est pas passé inaperçu et là encore, il va à l’encontre des usages. Le chef d’État français est en effet arrivé en retard à la cérémonie qui se tenait à Ver-sur-Mer.
Emmanuel Macron, un homme peu ponctuel
Un retard de vingt bonnes minutes, qui a suscité quelques commentaires sur les chaînes de télévision. Ces dernières, qu’elles soient françaises ou encore britanniques, n’ont pas manqué de souligner la présence des dirigeants invités… qui attendaient le président de pied ferme. Ce sont d’ailleurs ces derniers qui ont dû l’accueillir : les rôles se sont inversés.
« On a l’habitude qu’il ne soit pas très à l’heure. Mais ça a un peu choqué mes confrères britanniques pour tout vous dire », rapporte un journaliste RTL. En effet, sur Sky News, le journaliste dépêché sur place rapporte avec étonnement que la cérémonie a dû commencer « sans lui ».
Qu’il se rassure, le retard du président n’est en rien une bravade. Cette attitude relève de l’habitude, comme le souligne le média Paris-Normandie. Lors d’un déplacement en Allemagne le 28 mai dernier, le président est arrivé « à la bourre » à son entretien avec le chancelier Olaz Scholz. Même topo en mars, au sommet européen qui se tenait à Bruxelles. Encore en retard, Emmanuel Macron n’avait pas pu participer à la traditionnelle photo de famille.