CHOC : Il se fait violemment attaquer par un essaim d’abeilles et meurt quelques heures plus tard (vidéo)
Une scène incroyable
Le 29 novembre dernier, une scène effroyable a été filmée dans le quartier de la cité des Palmiers à Douala. Alors qu’il sortait de la banque, un homme s’est fait attaquer par un essaim d’abeilles. Des milliers d’insectes se sont ruées sur lui en le piquant. Des passants ont alors capturé la scène en voyant le Camerounais de 38 ans assis, le corps recouvert d’abeilles. Comme vous pouvez le voir dans la vidéo, l’homme reste figé et est incapable de bouger. Guy Ayissi, la victime, n’a pas survécu à ses piqûres et est décédé quelques heures plus tard à l’hôpital.
« J’ai vu les abeilles s’acharner sur lui »
Sa compagne était présente au moment de l’attaque. Interrogée par France 24, elle a raconté : « Un camion a alors déversé de la terre juste à côté de la banque, où il y avait un chantier. C’est à ce moment-là que les abeilles sont arrivées. D’après ce que j’ai vu, elles se trouvaient au niveau du premier étage du bâtiment de la banque, dont les locaux sont situés au rez-de-chaussée. » C’est en sortant de la banque que l’enseignant à l’Institut Universitaire de Technologie de Douala s’est fait attaquer. D’autres personnes, dont la petite amie, ont eu le temps de se réfugier à l’intérieur de commerces et de la banque. « J’ai vu les abeilles s’acharner sur mon petit ami. Il s’est dirigé vers la voiture, puis vers la banque. Il se débattait et se frappait pour les faire partir, puis il s’est assis. Je pense qu’il était déjà fatigué, ça a été très vite. J’ai alors appelé les pompiers », se remémore la jeune femme.
L’homme n’a pas survécu
La prise en charge de Guy Ayissi a été complexe. Pour faire fuir les abeilles, les pompiers, équipés de combinaisons, ont brûlé des morceaux de cartons. « Le feu a permis de faire partir beaucoup d’abeilles, donc au bout 15 à 20 minutes, nous avons pu l’emmener à l’hôpital de district de la Cité des Palmiers », a expliqué le commandant de la compagnie d’incendie de Douala. Malheureusement, l’homme est décédé suite à un choc anaphylactique, c’est-à-dire une réaction allergique.