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Plusieurs cas de variole du singe détectés chez des humains… vers une nouvelle pandémie mondiale ?

Publié par Quentin VIALLE le 19 Mai 2022 à 13:55
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Une maladie rare qui commence à inquiéter. Après l’apparition de plusieurs cas au Royaume-Uni début mai, la « variole du singe » aurait été détectée chez des humains dans plusieurs autres pays, notamment en Espagne et au Portugal. Doit-on s’en inquiéter ? Réponse.

Des cas de variole du singe détectés dans plusieurs pays

Des cas de variole du singe détectés au Royaume-Uni… mais pas que

Après le Covid-19… le Monkeypox ? Début mai, des cas de variole du singe ont été détectés pour la première fois au Royaume-Uni. Depuis, ce sont plusieurs pays du globe qui ont recensé des cas suspects ou confirmés de cette maladie peu fréquente. Espagne, Portugal, Etats-Unis, Canada… Au total, plus de 50 cas ont été signalés jusqu’ici.

La vidéo du jour

Comme l’indique L’Indépendant, la variole du singe « est une maladie virale » rare et omniprésente « dans les zones de forêt tropicale humide, notamment en Afrique centrale et occidentale ». Elle peut se manifester sous différentes formes, mais les symptômes les plus fréquents sont de la fièvre, des douleurs musculaires ou une éruption cutanée au niveau des mains et du visage. Elle peut cependant recouvrir d’autres parties du corps.

Ce virus est-il dangereux ?

Ce virus, qui se transmet généralement entre l’Homme et des rongeurs ou des primates, inquiète fortement les autorités. Néanmoins, l’Organisation mondiale de la Santé se montre plutôt rassurante sur le sujet, du fait d’un faible taux de mortalité. « En général, le taux de létalité (…) s’est établi entre 1% et 10%, la plupart des décès survenant chez les plus jeunes », résume l’OMS.

Sur les 8 cas enregistrés au Royaume-Uni, l’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) explique par ailleurs que quatre d’entre eux ont des tendances homosexuelles. Mais pour l’heure, aucun lien n’a pu être établi par les scientifiques. « Nous exhortons particulièrement les hommes homosexuels et bisexuels à être conscients de toute éruption cutanée ou lésion inhabituelle et à contacter sans délai un service de santé sexuelle », a expliqué le Dr Susan Hopkins, conseillère médicale de l’agence britannique.

Source : L’indépendant

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