Elle n’aurait jamais du prendre cet agneau trop mignon dans les bras, ce qu’elle va vivre après est un vrai cauchemar !
Asher Lloyd a vécu un moment trop mignon, qui s’est transformé en cauchemar. En tenant un petit agneau qui venait de naître dans les bras, sans le savoir elle a été contaminée par un virus dangereux. Elle aurait pu perdre son pouce, que les médecins étaient prêts à lui couper pour éviter que le virus ne se propage.
Une photo trop mignonne…
Asher Lloyd, une Britannique de 23 ans, visitait une ferme dans le Denbighshire, au pays de Galles avec son petit copain, quand elle a craqué pour cet agneau qui venait de naître. Elle ne peut s’empêcher de le toucher. On lui propose même de le prendre dans ses bras et elle demande à Joe Woolford, son copain, de la prendre en photo avec l’animal. Mais elle était loin de s’imaginer ce qu’elle allait vivre par après.
L’agneau a failli lui faire perdre son doigt
Après cinq jours, la jeune fille qui a aussi été aperçue dans The Voice, a commencé à ressentir des douleurs au pouce. Elle se rend aux urgences et après de longues heures d’attente au Glan Clwyd Hospital, elle apprend qu’elle a une infection. On lui donne des antibiotiques mais son pouce continue à gonfler et des ampoules remplies de pus sont apparues. La douleur était tellement insupportable qu’elle a cru que sa main allait tomber. Elle est donc retournée à l’hôpital et le verdict est tombée, elle a contracté la maladie d’orf. L’orf est une maladie animale transmissible aux hommes, il s’agit d’un parapoxvirus qui crée des lésions chez ceux qui ont été, le plus souvent, en contact avec des ovins contaminés.
Elle a frôlé la catastrophe
« J’avais l’impression que mon pousse allait se détacher. Les veines de mon bras étaient écarlates et les médecins m’ont annoncé que mon sang avait été infecté. Après, je me souviens que neuf docteurs masqués m’ont approchée et ont pris des photos de mon pouce. » Il a fallu faire venir un chirurgien et un anesthésiste car l’infection était si grave qu’il fallait opérer immédiatement avant que l’infection ne se répande. « Selon les médecins, ils n’avaient jamais rien vu de tel auparavant. » À son réveil, on lui apprend qu’ils ont dû lui râper une partie de l’os qui lui aussi avait déjà été contaminé. Quelques heures plus tard, c’était toute une phalange qu’il aurait fallu lui enlever. Un jour de plus, et elle aurait eu une septicémie. Un mois plus tard, elle est toujours sous antibiotiques et doit se faire deux injections de stéroïde par jour.