Brigitte Bardot : des révélations sur sa mort !
Avec une simplicité déconcertante que Brigitte Bardot évoque sa mort dans une interview accordée Point de Vue. Ainsi, elle aurait déjà donné des instructions concernant son caveau avec quelque chose de simple et de très modeste pour un retour à l’essentiel.
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Brigitte Bardot : simple dans la vie comme la mort
Si elle a commencé sa vie comme étant une star incontournable des années 60, Brigitte Bardot souhaite pourtant terminer ses jours modestement. « Il n’y aura pas de statue, de caveau et encore moins « de mausolée à la Elvis.» C’est ainsi qu’au magazine Point de Vue, elle évoque tout simplement ses dernières volontés. « Mon nom, ma date de naissance, ma date de mort. Une petite croix en bois. Rien d’autre. Comme je l’ai fait pour mes chiens, mes chats, mes chevaux, mes moutons, que je rejoindrai. »
Quelque chose de relativement simple donc et qui fait complètement abstraction de son métier d’actrice ou de son combat pour les animaux. « Enterrer, ce n’est pas embétonner. Les mots ont un sens. Je vous rassure, je ne suis pas prête à mourir. Mais quand cela arrivera, je souhaite un retour à la terre, à l’essentiel. Il n’y a rien de plus beau. »
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Tout est déjà prévu
Quant à l’emplacement de son caveau, Brigitte Bardot a prévu de reposer dans un petit cimetière animal, dans le jardin de La Madrague, sa très célèbre demeure à Saint-Tropez. « J’aime le lieu de mon repos éternel, je l’ai choisi avec conscience. Les formalités ont été effectuées, un endroit précis a été accepté par les autorités. » Un choix savamment réfléchi puisqu’elle préfère éviter de reposer dans le caveau familial de peur qu’il ne soit dégradé par des curieux. « Je préfère reposer là que dans le cimetière de Saint-Tropez, où une foule de connards risquerait d’abîmer la tombe de mes parents et de mes grands-parents, expliquait-elle un jour au Monde. Je veux qu’on me foute la paix ! »
Ainsi, et pour tous ceux qui souhaiteront lui rendre hommage, un droit d’entrée sera exigé et reviendra à sa Fondation pour les animaux. Quant au souvenir qu’elle souhaite laisser ? « L’image que je renvoie, ma chérie, je m’en tamponne. Et si cela m’avait importé un jour, je n’aurais rien fait. J’ai vécu dans un monde plus acceptable, où il y avait des valeurs, un sens des relations humaines, déplore-t-elle aujourd’hui. On ne se rend pas compte à quel point l’argent et l’égoïsme dominent notre société actuelle. Une société qui ne prend pas soin de ses animaux, de ses enfants, de ses vieux, des plus vulnérables en somme, c’est une société morte. »