Avortement refusé aux États-Unis : Laeticia Hallyday prend la parole sur Instagram !
Ce mercredi 4 mai, celle qui serait visiblement ruinée, Laeticia Hallyday a souhaité réagir en story Instagram à la possibilité que le droit à l’avortement ne soit plus garanti aux États-Unis.
Un droit à l’avortement en danger aux États-Unis ?
C’est un droit que beaucoup de femmes considèrent comme étant fondamental. Celui qui leur permet d’avorter en toute légalité. Aux États-Unis, celui-ci est en vigueur depuis en 1973, par le biais de l’arrêt Roe v. Wade de la Cour suprême.
Cinquante ans plus tard, il s’avère qu’au Mississipi, de nombreux débats autour de ce droit ont ressurgi… En lien notamment avec la révision d’une loi interdisant l’IVG au-dessus de quinze semaines de grossesse. De quoi scandaliser le monde entier, et à forcer à réagir, Kamala Haris, la vice-présidente américaine, entre autres.
Laeticia Hallyday : « Il est impossible d’interdire l’avortement ! »
Ce mercredi 4 mai, face à cette nouvelle, Laeticia Hallyday qui a commenté cette actualité en story Instagram. La veuve du rockeur ne s’est pas exprimée directement sur le sujet, mais a choisi de partager des publications afin de bien faire comprendre son point de vue. Elle a ainsi repris le post de l’acteur Josh Radnor, stipulant qu’on « ne peut pas interdire l’avortement, mais qu’il est uniquement possible d’interdire ceux qui sont sûrs« .
Josh Radnor a ensuite ajouté que le fait de retirer ce droit ne change en aucun cas « le taux d’avortement ». Voter une telle loi serait donc le rendre désormais illégal. De plus, il faut savoir que lorsqu’une femme se voit refuser un avortement, elle a quatre fois plus de chances de vivre sous le seuil de pauvreté… Pour lui, ce souhait représente donc une « hypocrisie flagrante » des conservateurs qui ne se penchent pas sur les questions des abus sexuels, de l’éradication de la pauvreté, ou bien encore de la peine de mort, de l’incarcération de masse… Ou enfin du manque d’accès aux soins de santé et aussi à l’assurance maladie.
Source : Public