Anne-Claire Coudray ne fait pas de cadeau à Elisabeth Borne ! « Vous n’êtes pas à proprement parler une politique »
Visiblement, Élisabeth Borne a réussi à obtenir une belle promotion suite à la suite de la récente réélection du président de la République… En effet, après avoir dirigé trois ministères différents depuis 2017, cette dernière a été officiellement nommée ce 16 mai Première ministre.
Anne-Claire Coudray ne mâche pas ses mots avec Elisabeth Borne !
De nombreux dossiers attendent Élisabeth Borne au sein de Matignon… Mais bien évidemment, le plus urgent était de composer un nouveau gouvernement. Afin de diriger comme il se doit la France. Annoncé tardivement, ce dernier a été dévoilé dans son ensemble ce vendredi 20 mai. Si certains ne changent pas de postes, à l’instar de Gérald Darmanin, ou bien encore d’Éric Dupond-Moretti, d’autres ont été remplacés par de nouveaux visages.
Et il s’avère également que la composition de ce nouveau gouvernement a déjà fait couler beaucoup d’encre… Ce vendredi 20 mai, Élisabeth Borne était présente sur le plateau du JT de 20 h. Et pour sa toute première interview depuis sa nomination, l’ancienne ministre du Travail a pu être assurée que la journaliste Anne-Claire Coudray n’allait pas lui faire de cadeau. « Vous n’êtes pas une politique à proprement parler. Vous êtes dans ce gouvernement depuis maintenant cinq ans, mais on vous connaît très peu finalement« , a-t-elle d’entrée lancée.
« Je souhaite pouvoir rendre à mon pays ce qu’il m’a apporté »
« Vous êtes une ingénieure, mais aussi une ancienne préfète. Vous êtes par ailleurs passée par la RATP. (…) Est-ce que cette nouvelle fonction ne va pas vous obliger à vous exposer davantage ? » a ajouté la présentatrice.
🔴 EXCLUSIVITÉ @TF1
🗣️ « Je dois tout à la République. Et j’ai à cœur de rendre à mon pays ce qu’il a pu m’apporter », confie @Elisabeth_Borne
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— TF1Info (@TF1Info) May 20, 2022
« Durant ces cinq années, j’ai essayé d’aller au contact des Français. D’être également à l’écoute des acteurs qui nous aident à construire nos politiques publiques. Je n’ai aucun doute que je vais devoir être beaucoup plus exposée. Je dois tout à la République et je désire rendre à mon pays ce qu’il a pu m’apporter » lui a rétorqué, sans détours, Élisabeth Borne.