Amazon met au point une méthode originale pour lutter contre le vol
Amazon, le géant américain du e-commerce en a marre ! Il faut dire qu’avec des millions de colis et des salariés par milliers, il ne pouvait pas surveiller tout le monde. Du coup, avec l’approche des fêtes de fin d’année, il a pris les devants et mis en place une méthode originale pour lutter contre le vol.
Amazon, ce géant du e-commerce un peu trop gros
Avec l’arrivée du Black Friday et de Noël, le géant des sites e-commerce est sur les dents. Il faut dire qu’Amazon, c’est quand même 100 millions d’abonnés, plus de 7 milliards de livraisons par an et 566 000 employés de part le monde. Ouf ! Effectivement, on peut comprendre qu’il ne peut pas avoir des yeux et des oreilles partout. Surtout lorsqu’il s’agit de surveiller la qualité du travail de ses livreurs qui, d’ailleurs, est souvent pointée du doigt.
Selon 60 millions de consommateurs : « les témoignages concernant les problèmes de livraison sont malheureusement très nombreux ». Mais le principal cheval de bataille d’Amazon en cette fin d’année, c’est de limiter les pertes et les vols de ses livreurs. Il a ainsi mis en place une méthode pour le moins originale.
La méthode originale d’Amazon pour lutter contre les vols
Alors pour inciter ses livreurs à « être honnête », Amazon a décidé……de les piéger ! Concrètement, il place des colis vides ou mal étiquetés dans les commandes. Lorsqu’ils sont scannés, un message d’erreur apparaît et indique que les produits ne sont pas répertoriés par le géant de la livraison. Dans ce cas précis, le protocole veut que le livreur signale ce problème à Amazon et ramène le produit en entrepôt. Dans le cas contraire, s’il décide de s’approprier le paquet, l’entreprise finit par le savoir.
Selon Business Insider, au retour du livreur, un manager vérifie que tous ces faux colis ont bien été récupérés. « C’est bien entendu un piège… pour vérifier l’intégrité du conducteur » explique l’ancien responsable logistique d’Amazon. La firme explique également que se sont des contrôles « réalisés au hasard » et « qu’ils font partie intégrante des programmes de qualités ». Cependant, il n’existe à l’heure actuelle aucun chiffre qui confirmerait l’efficacité de cette méthode.