Elle est accusée d’avoir empoisonné son mari infidèle : mais son mari va dévoiler l’horrible vérité !
Madame Khan a été suspectée jusqu’au bout d’avoir empoisonné son mari. À l’heure actuelle, il est encore difficile d’avoir le dernier mot sur ce qui s’est passé. Tariq Khan affirme maintenant s’être empoisonné lui-même pour se punir d’avoir trompé sa femme.
L’empoisonnement aurait pu être mortel
Après avoir passé un an à l’hôpital, Tariq Khan a pu sortir, même si son empoisonnement lui a laissé de terribles séquelles. Il a des difficultés à se servir de ses mains et ses pieds, suite à l’empoisonnement au mercure et à l’arsenic qui a complètement détruit certains de ses organes. Dès le début de l’enquête, c’est sa femme Mussarat, qui a été soupçonnée et accusée de l’avoir empoisonné. La police a trouvé des bouteilles en plastique remplies de liquides mortels dans une armoire de la cuisine familiale.
Il avoue s’être infligé le supplice
Lors d’un premier procès, le procureur a déterminé que Madame Khan s’était procurée de l’arsenic lors d’un voyage au Pakistan. Elle aurait ensuite contaminé la nourriture et la boisson qu’elle préparait à son mari pour se venger. Tous les organes ont cessé de fonctionner correctement, et il est plongé dans un coma profond, pendant des semaines. Après un an de procès et de procédures judiciaires, Monsieur Khan qui vient de sortir de l’hôpital, a révélé à la police, par surprise, qu’il s’était lui-même empoisonné pour se punir d’avoir trompé sa femme.
Des infidélités qui ont bouleversé toute la famille
Mais l’affaire reste un mystère. Malgré les aveux de l’homme, la justice continue à penser que tout l’entourage de Monsieur Khan aurait fait de parfaits coupables. Ils avaient tous un motif et auraient tous pu avoir accès aux bouteilles de poison. Le motif est simple, toute la famille aurait été affectée par les infidélités du père, qui ont duré pendant de nombreuses années. C’est le même motif qui a poussé l’homme lui-même à s’infliger le supplice. L’honneur de la famille a été bafouée et l’empoisonnement aurait pu être envisagé par n’importe qui.