Accueillir les terroristes afghans en France « pour les surveiller » ? L’idée folle de Sandrine Rousseau
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Invitée sur le plateau de BFMTV mardi dernier, Sandrine Rousseau n’en finit pas de faire polémique dans les médias et sur les réseaux sociaux. La candidate à la primaire des Verts souhaite accueillir les « potentiels terroristes » en France afin de les surveiller. Des propos qui ne passe pas, alors qu’une famille afghane est actuellement en garde à vue.
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Accueillir les « potentiels terroristes » en France : que souhaite Sandrine Rousseau ?
Alors que la situation en Afghanistan ne cesse de s’aggraver et qu’une explosion s’est produite près de l’aéroport de Kaboul, les politiques s’expriment sur la situation. Invitée sur BFMTV, Sandrine Rousseau, candidate à la primaire des Verts, a été interrogée sur les potentiels terroristes afghans. Mais sa réponse n’a pas manqué de faire réagir les médias et les internautes. Pour la femme politique, il faudrait accueillir les « potentiels terroristes » afghans en France. « Si vraiment il y a des personnes qui sont dangereuses, de potentiels terroristes, ce n’est pas parce qu’ils restent en Afghanistan qu’ils sont moins dangereux en vrai. Quelque part les avoir en France, cela nous permet aussi de les surveiller » a-t-elle indiqué sur le plateau.
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« Ces gens sont fous » … Un avocat répond !
Sur le plateau, les différentes personnalités n’ont pas manqué de réagir. Sur Twitter, ils ont été nombreux à s’indigner, notamment l’avocat Pierre Gentillet : « Ces gens sont fous » . Le docteur Laurent Alexandre a également réagi en indiquant que la candidate EELV à la présidence a tenu des propos complètement « dingue » . « Sandrine Rousseau, à elle seule, a enfin trouvé le moyen de lutter contre le terrorisme : faire venir le terrorisme chez nous pour le surveiller » a tweeté Gilbert Collard.
Sur France Inter, les journalistes sont revenus sur les propos de la candidate, en lui laissant une seconde chance de s’exprimer sur le sujet. Sandrine Rousseau ne s’est pas fait prier, estimant que ses propos étaient « maladroits » . « Ce que j’ai voulu dire, c’est que l’on doit rapatrier les populations civiles, on a les moyens de surveiller les personnes et le risque terroriste est contenu » .
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