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Blague du jour : Le groupe des sandwichs

Publié par Killian Ravon le 12 Juil 2024 à 17:00
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Chaque jour, Le Tribunal du Net vous raconte une blague qui vous fera rire à tous les coups. Partagez-la !

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Le client indécis Blague du jour : Un vendeur fait face à un client indécis Blague du jour : Un vendeur fait face à un client indécis

Chaque midi, trois ouvriers du bâtiment – un Français nommé Pierre, un Allemand nommé Hans, et un Belge nommé Jean – se retrouvent sur le toit d’un immeuble en construction pour déjeuner ensemble.

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Le premier jour, Pierre ouvre son sac et y découvre un jambon beurre. Il soupire profondément et dit : « Ça fait 20 ans que je travaille dans le bâtiment et 20 ans que je mange un jambon beurre chaque midi. Si demain j’ai encore un jambon beurre, je me jette du toit ! »

Hans, à son tour, ouvre son sac et voit une choucroute. Il grimace et déclare : « Ça fait 20 ans que je suis ouvrier et 20 ans que je mange de la choucroute tous les jours. Si demain j’ai encore de la choucroute, je me suicide ! »

Jean, enfin, ouvre son sac et y trouve des moules frites. Il lève les yeux au ciel et dit : « Moi aussi, ça fait 20 ans que je mange la même chose tous les midis. Si demain j’ai encore des moules frites, je me jette du toit ! »

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Le lendemain midi, les trois hommes se retrouvent à nouveau sur le toit pour déjeuner. Pierre ouvre son sac et, à son grand désespoir, trouve encore un jambon beurre. Sans hésiter, il se jette du toit et s’écrase en bas.

Hans, ouvrant son sac, découvre une fois de plus de la choucroute. Désespéré, il se jette à son tour du toit.

Jean, ouvrant son sac en dernier, voit encore des moules frites. Suivant l’exemple de ses amis, il se jette du toit.

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Quelques jours plus tard, lors de leur enterrement commun, les trois veuves se retrouvent en pleurs. La femme de Pierre, une Française nommée Marie, dit : « Je ne comprends pas, s’il m’avait dit qu’il n’aimait plus le jambon beurre, je lui aurais préparé autre chose ! »

La femme de Hans, une Allemande nommée Greta, pleure et ajoute : « Moi aussi, je ne comprends pas, s’il m’avait dit qu’il en avait marre de la choucroute, j’aurais fait un effort pour varier ses repas ! »

La veuve de Jean, une Belge nommée Elise, est encore plus effondrée que les autres et dit entre deux sanglots : « Je ne comprends pas du tout… c’est Jean qui préparait ses propres repas chaque matin ! »

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Les autres veuves la regardent, ébahies. Marie, reprenant ses esprits, demande : « Tu veux dire que… Jean se faisait lui-même des moules frites tous les jours et s’en plaignait ? »

Elise hoche la tête, les yeux remplis de larmes : « Oui… il ne s’est jamais plaint, il disait toujours qu’il adorait ça… »

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