Pokémon, Scooby-Doo : Une IA redonne vie à Johnny Hallyday dans des génériques de notre enfance
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L’intelligence artificielle, ou l’IA s’arrêtera-t-elle un jour ? Fraîchement arrivée dans nos foyers et sur nos ordinateurs, celle-ci promet les folies les plus dingues mais qui peuvent parfois être dangereuses pour un internaute peu aguerri.
Et depuis quelques heures, des vidéos affolent la Toile. Réalisées par Clément C, elles redonnent vie à Johnny Hallyday dans des génériques de notre enfance ou encore des groupes cultes des années 80.
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Les dangers de l’IA
Cela fait plusieurs mois que l’IA a fait son arrivée sur Internet. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que celle-ci est particulièrement inquiétante. Et pour cause, elle permet aux internautes qui l’utilisent de faire absolument tout et n’importe quoi avec les images, les audios et les vidéos.
Il y a quelques mois, de fausses photos de Donald Trump se faisant violemment arrêter ont circulé sur la Toile. Mais au premier abord, des internautes qui ont peu de connaissances peuvent croire que celles-ci sont réelles et par conséquent, peut aider à la propagation de fake news.
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Johnny Hallyday fait revivre les génériques de notre enfance
Et depuis quelques heures de drôles de vidéos font le tour de la Toile. Réalisées par un internaute, Clément C., ce dernier fait revivre Johnny Hallyday. Grâce à un procédé de l’IA, il peut isoler la voix du célèbre rockeur et transposer celle-ci sur n’importe quelles paroles, comme l’a confié le créateur à nos confrères de 7 sur 7.
« Il suffit de séparer la voix de l’instrumental et de passer le chanteur à travers l’IA qui se charge de modifier sa voix. Là où ça devient plus pénible, c’est quand la source n’est pas de bonne qualité ou bien que la voix se fait couvrir par du bruit. Dans ce cas-là, il faut trouver une autre source de chant.”
Cela donne donc lieu à une séquence loufoque puisqu’il a fait cela avec les génériques de “Dragon Ball”, “Pokémon”, “One Piece” ou encore “Scooby-Doo”. Mais aussi avec des musiques culte des années 80 comme « Le téléphone pleure », ou “An American Trilogy” d’Elvis Presley.
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