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Elle nous montre comment ses tatouages de sourcils ont mal tourné !

Publié par Nicolas F le 06 Août 2017 à 10:01
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Une Australienne a été défigurée alors qu’elle voulait tester la nouvelle technique de beauté à la mode, le microblading. Cette technique dont on entend beaucoup parler ces temps-ci, est une alternative au maquillage permanent des sourcils. Mais pour Amanda, l’expérience a tourné au cauchemar, puisque ses sourcils se sont infectés et lui ont laissé des traces de brulures qui se sont étendues sur son front.

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Des aiguilles redessinent les sourcils

Le microblading est une technique qui consiste à créer des sourcils hyper réalistes, poil par poil en pigmentant les couches supérieures de l’épiderme à l’aide d’aiguilles. Comme les micro-scalpels touchent les parties superficielles de la peau, le pigment s’estompe peu à peu en un an, contrairement au maquillage permanent qui est un tatouage. De nombreux instituts de beauté proposent dorénavant cette technique qui a connu une forte popularité aux États-Unis.

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Le premier jour, elle avait seulement des rougeurs (Caters)

Elle a des croutes à la place de ses sourcils

Amanda Coasts, une maman qui habite Melbourne, a voulu essayer cette technique esthétique aux résultats miraculeux. Mais chez elle, le résultat est effrayant. Elle a de grosses croutes rouges qui se sont mises à cicatriser sur le front. Dans une publication Facebook, Amanda accuse le salon de beauté de n’avoir pas pris les mesures d’hygiène recommandées. L’esthéticienne s’occupait de plusieurs clientes en même temps, sans changer ses gants. La clinique a rejeté toutes ces accusions. Selon elle, c’est la patiente elle-même qui a infecté son visage en appliquant des soins non-appropriés.

(Caters)

(Caters)

Qui est en tort ?

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La clinique n’a jamais eu de cas d’infection auparavant. Et elle projette même de porter plainte contre Amanda pour diffamation. Amanda quant à elle, est aussi en train d’étudier quelles sont ses possibilités d’attaques juridiques. Selon elle, même si les douleurs ne se sont faites ressentir qu’un jour après le traitement, elle aurait été rembarrée par la clinique lorsqu’elle l’a contactée par téléphone. « Je leur ai expliqué que ma peau était en train de partir, mais ils n’ont rien voulu entendre ». Les médecins lui ont prescrits des antibiotiques et des stéroïdes pour contrer l’infection. Les frais médicaux excèdent même ceux du microblading.

(Caters)

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